Chroniques des Gardiens Draconiques

Voilà, je devrais bientôt terminer de taffer sur la fondation de la guilde ( désolé si ça prend du temps, mais je suis actuellement dans une de ces périodes de l'année scolaire du genre 2/3 examens par jour, donc ça prend du temps :/ ). En attendant que ça arrive, je crée déjà ce petit poste pour l'accueillir et pour gentillement vous demander de poster tous vos commentaires/critiques sur le poste dédié à ce sujet pour ne pas interompre le cours de l'histoire. Merci de votre compréhension !

Chapitre I, FONDATION
"La Tyrie... Au cours de l'histoire, notre monde a vu naître bien des guildes. Certaines ne sont nées que le temps d'affronter un ennemis puissant, disparaissant aussi vite qu'elles ont été fondées. D'autre ont été bâties avec de bases solides et pour objectif d'affronter tout ennemis qui se dresserait sur leur chemin. D'autre encore ont été fondé à la suite d'actes héroïque ou de bravoure et ont parcouru le monde pour sauvé la veuve et l'orphelin. Et certaine enfin, sont nées à la suite de tragédie et n'existe que pour empêcher que cela se reproduise. Et c'est le cas de notre guilde, la guilde des Gardiens Draconiques.

Tout commença part l’un des évènements les plus marquant de l’an 1325 : la chute de la forteresse de l’Île de la Griffe. Enolff, jeune mercenaire et guerrier humain, venait alors tout juste d’être affecté par la Garde du Lion aux patrouilles des plages sur l’Île de la Griffe. Et, lorsque l’attaque des serviteurs de Zhaïtan eut lieu, il fut aux premières loges pour contempler la catastrophe qui se déroula sur l’île. En un instant, ce lieu pourtant réputé imprenable venait de s’effondrer sous ses yeux, la garnison se faisant massacrer par le champion du Dragon.  Parmi les nombreux soldats postés sur place, bien peu survécurent. Et il s’en fut de peu qu’Enolff ne meurt au cours de l’évacuation de la forteresse, échappant de justesse à un destin plus que funeste. C’est à la suite de cette évènement qu’il compris l’ampleur de la puissance des Dragons. Ceux-ci n’étaient pas seulement des forces brutales, anéantissant tout sur leur passage, mais aussi des généraux rusés, capables de faire tomber n’importe quelle forteresse par la simple force de leurs armées surgissant par surprise et prenant les défenseurs au dépourvu. Face à cette terrible révélation, Enolff compris désormais que la Tyrie aurait besoin de défenseurs, des Gardiens qui la protégeraient des assauts des Dragons tandis que les ordres formeront le fer de lance qui assaillira ces terribles créatures. Fort de sa conviction, notre guerrier se mis donc en route, partant à la recherche de héros qui, comme lui, seront prêt à donner leur vie pour défendre leurs terres et leurs foyers. Il parcouru ainsi la Tyrie, traversant le royaume de Kryte avant de s’aventurer dans les terres sauvage de Brisban, où se rendaient de nombreux aventuriers en quête de gloire. Il voyagea pendant plusieurs jour à travers ces contrés, interrogeant les aventuriers qu’il rencontrait et cherchant ceux qui l’accompagneraient dans son combat pour protéger la Tyrie. Mais les jours passaient, et à mesure que se poursuivait sa quête et que nul ne souhaitait se battre à ces cotés, il compris qu’il lui manquait encore bien des choses avant de pouvoir mettre en œuvre son idée. S’il voulait que l’on se batte pour son idéal, il allait lui falloir du matériel de qualité, de plus amples connaissances sur les dragons, et surtout, une renommée tel, que tous jugeraient qu’il s’agit d’un honneur de se battre à ces cotés. Et un jour, alors qu’il réfléchissait à comment obtenir ces éléments, un évènement surprenant se produisit qui allait lui fournir les réponses dont il avait besoin.
Alors qu’Enolff progressait du coté de la vallée de Venlin, il entendit soudain un grand bruit derrière lui. En se retournant, il vit un grand Norn à tête bleu courir dans sa direction, poursuivit par d’innombrables skritts hurlants : « Mort! Mort prince! Tuer lui! »
Ne sachant comment réagir face à cette situation improbable et voyant l’énorme masse poilu se rapprocher de lui à grand pas, il fit se qu’il y a de plus logique : Fuir !
C’est ainsi qu’il couru plusieurs heures aux cotés du Norn, fuyant les skritts jusqu’à ce qu’ils parviennent finalement à échapper à leurs poursuivant en se cachant dans les ruines de Koga. Lorsque ceux-ci abandonnèrent finalement la poursuite à contrecœur, nos deux fuyards purent enfin reprendre leur souffle. C’est alors qu’Enolff reconnu soudainement le Norn :
Il s’agissait du guerrier Sukaaz, un vieil ami de longue date dont il avait fait la connaissance à Rata Sum en d’amusantes circonstance. S’amusant de l’étrangeté de leur retrouvaille, les deux amis se mirent à rire de bon cœur avant de partir pour Metrica, où ils partagèrent une bonne pinte de bière Norn qu’avait emportée Sukaaz. Et, tandis qu’ils racontaient leurs aventures respectives, Enolff en vint à lui parler de son projet pour protéger la Tyrie. Face à la situation que lui exposait son ami, Sukaaz n’eut d’autre choix que d’approuver. La Tyrie avait besoin de gardiens. Et, enthousiasmé par la boisson, il parla à Enollf d’Hoelbrak, et du grand forgeron Beigarth, dont les armes étaient devenues légendaires.
« Ce Norn, lui dit-il, est celui qu’il te faut. Il saura te forger ce dont tu as besoin ! »  
Et c’est ainsi que nos deux guerrier se mirent en route pour les Cîmefroides, traversant monts et tempêtes de neiges. Le voyage ne fut pas de tout repos et le climat glacial ainsi que les Draguerres hostiles ne firent rien pour faciliter la traversée des montagnes. Mais malgré tous ces obstacles, ils finirent par atteindre la Grand-lôge d’Hoelbrak, où ils purent rencontrer le grand forgeron. Enolff lui raconta longuement son idée, et lui demanda s’il accepterai de le rejoindre et de l’aider dans ça quête. Le Norn l’écouta attentivement et, lorsqu’Enollf termina son récit, il se mit à rire bruyamment avant de lui dire que s’il s’agissait la d’une glorieuse quête, il ne pouvait malheureusement pas la rejoindre. En effet, quelques jours plus tôt, le Maréchal Trahearn était venu le trouver et lui avait demander son aide dans un projet visant rien de moins que la chute de Zhaïtan. Face à une quête si glorieuse, il n’avait pu refuser et ce n’était qu’une question de temps avant qu’il ne rejoigne le tout récent Pacte aux Rapides de Gyre. Ne pouvant s’opposer au choix du Norn, nos deux amis repartirent donc bredouille et se joignirent au festibière le plus où ils réfléchir à ce qu’ils allaient faire.
Ils profitèrent donc de la bière Norn et de l’ambiance des festivités et autres jeux à boire Norn pour se vider l’esprit et s’amuser et, alors qu’Enolff était sous l’effet de l’alcool, il tomba soudain nez à nez avec Eir Stegalkin, la grande héroïne Norn. Bien qu’elle ait quitté les Héritiers du Destin et abandonné l’aventure, elle n’en restait pas moins respectée à Hoelbrak et connaissait bon nombre de ses habitants. Prenant conscience de qui il avait face à lui, Enolff sauta sur l’occasion et, tentant tant bien que mal de reprendre ses esprits, il lui exposa son projet et lui demanda si elle connaissait un forgeront aussi doué que Beigarth qui serait prêt à les accompagnés dans leurs périples. L’héroïne lui répondit qu’elle ne connaissait personne d’aussi doué que le forgeron dans le maniement des métaux.
« Mais, leurs dit-elle, s’il vous faut vraiment un maitre-artisan pour mener à bien votre quête, j’ai fait dernièrement la connaissance d’un des apprentis de Beigarth. Il n’est pas encore aussi doué que son mentor, mais ses débuts son très prometteurs et il est actuellement en quête d’aventure, cherchant à prouver sa valeur en tant que guerrier. Si vous le souhaitez, je peux vous le présenter demain et nous verrons s’il souhaitera vous accompagner. »
« Et comment s’appelle cette graine de forgeron, lui demanda Sukaaz ? »
« Il se nomme Levak Steelslinger. »
Au lendemain du Festibière, nos deux guerrier retrouvèrent comme convenu Eir, qui leur présenta le guerrier et maitre-artisan. Nul ne sait exactement se que se dirent nos trois guerriers, mais à la fin de leur discutions, Levak accepta de les rejoindre dans leur lutte contre les Dragons. Il ne manquait désormais plus qu’une seul chose à Enolff pour finaliser son projet : des connaissances qui leurs permettraient d’affronter efficacement les serviteurs de Dragons. C’est dans ce but qu’ils partirent en direction du Prieuré de Durmand, source de tous les savoirs.

C’est là, après plusieurs jours de marche dans le blizzard et de Draguerres massacrés qu’ils se mirent en quête de trouver un érudit pour les aider. Ils parlèrent longuement avec plusieurs d’entre eux, mais aucun ne semblait vouloir les accompagner, tant il était occuper dans les préparatifs destinés à la lutte contre Zhaïtan. Et alors qu’il désespérait de trouver quelqu’un, un voleurs fit soudains son apparition dans leur dos. Il se présenta sous le nom de Lorai, et leur dit qu’il les avait entendu parler de trouver un érudit pour les aider à défendre la Tyrie. Leur projet lui paraissait plus que digne d’intérêt et il leur proposa son aide. Certes, il n’appartenait pas au Prieuré, mais il avait amassé nombre de connaissance sur les Dragons et la façon de les affronter au cours de ses nombreuses aventures. Enjoué par cette allié plus que surprenant qui se présentait à eux, ils acceptèrent la proposition du Charr et fêtèrent ça d’une bonne pinte ( tonneaux) de bière Norn. Plus tard, sur les recommandations de Lorai, ils se mirent à chercher à entrer en contacte avec l’Ordre des Soupirs, afin d’obtenir  le seul élément qui, d’après lui, leur manquait encore :
Entrer en contacte avec un ordre aussi secret ne fut pas chose aisé, et il leur fallu vivre bien des mésaventures avant de finalement rencontrer un agent de l’ordre. Il s’agissait d’un jeune voleur humain du nom de Loken. L’agent des Soupirs écouta attentivement les projets d’Enolff pendant plusieurs heures d’affiler, cherchant à clarifier chaque petit détail. Et, lorsqu’il eut finit son long exposer, Loken lui fit lui aussi une proposition :
Si Enolff et ses amis acceptaient de s’engager comme mercenaires auprès du Pacte dans le combat contre Zhaïtan et qu’ils en sortaient victorieux et en vie, il les rejoindrait et agirait comme agent de liaison avec les Soupirs.
Ne pouvant prendre cette décision seul, Enolff se concerta avec ses amis. Et lorsqu’il revint donner ça réponse à Loken en compagnie de ses compagnons, leur réponse fut unanime : Ils iraient combattre Zhaïtan aux côtés du Pacte, quelqu’en soit le prix à payer ! »